“Tu voulais un enfant, non ?” – Pourquoi la maternité ne doit pas rimer avec effacement

“Tu voulais un enfant, non ?” – Pourquoi la maternité ne doit pas rimer avec effacement

“Tu voulais un enfant, non ?”
Ce qu’on dit aux mères sans mesurer le poids de cette phrase.

C’est lancé comme une évidence.
Comme si ça devait tout expliquer. Tout justifier.
Comme si vouloir un enfant signifiait renoncer à tout le reste.

À son ambition.
À sa liberté.
À sa créativité.
À son identité professionnelle.

Comme si le fait de devenir mère nous enfermait dans un seul rôle.
Un rôle total, exclusif, dévorant.
Et qu’il fallait s’en contenter.

Mais on peut aimer profondément son enfant
et ne pas vouloir disparaître derrière lui.

On peut vouloir être mère
et rester femme.
Et rester vivante, vibrante, complète.
Pas divisée. Pas amputée d’une partie de soi.

Ce que je vois. Ce que j’entends. Ce que j’accompagne.
J’accompagne ces femmes dans ces zones floues.
Celles qui veulent recoller les morceaux.
Celles qui sentent que quelque chose en elles appelle plus grand, plus vrai.
Celles qui ne veulent plus choisir entre leurs enfants et elles-mêmes.

Pas pour “rebooster”.
Mais pour se retrouver.
Pour faire de la place à ce qui compte vraiment.
Pour redevenir leur propre priorité.

Si tu t’es reconnue dans ces lignes

Tu n’es pas seule.
Et tu n’as pas à t’excuser de vouloir autre chose que “tout ça”.

Écris-moi.
Ou partage ces mots à une femme qui en aurait besoin.

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et des questions qui transforment,
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